Avis sur les autres classes
Dracofor : des petits cons prétentieux
Leogriffe : des petits cons inconscients
Aquilus : des petits cons ennuyeux
Ursustellis : des petits cons bruyants
Magic questions
Si tu devais créer un sortilège, celui-ci te permettrait de :- De repousser les créatures malveillantesQu'est-ce que tu as le plus de mal à supporter :- L'ennui- La solitudeQuelle est la chose que tu désires le plus apprendre à Andromède :- Je prends ce qu'on m'offre et c'est tout Quel est le familier que tu rêverais d'avoir ?Aucun, laissez ces pauvres bêtes tranquilles.Histoire
Il me suffit de fermer les yeux pour que ton visage me revienne
Qu'importe les années, il me semble encore t'avoir vu la veille
J'entends presque ton rire musical coulant sur ce cœur gelé
Plus le temps passe et plus les regrets s'additionnent
Comme j'envie ces jours que je croyais sans fin
Et je ne comprend qu'une fois perdue combien ils m'étaient chers
Disparue à jamais on me l'a prise, mais quelle différence ?
J'ai pourchassé maintes créatures dans ma hargne
Lacérant et pourfendant femmes et enfants
Dans le fol espoir qu'un jour la douleur ne s'estompe
Mais aujourd'hui je ne porte que le fardeau de mes péchés
Avec la certitude que cette chaleur ne reviendra pas
Pour moi le temps s'est arrêté ce jour fatidique
J'avais une vie heureuse quoique non sans accrocs
Mais d'une main tu parviens toujours à balayer ces aléas
Devant l'adversité jamais ton regard n'a perdu de son éclat
Je pourrais tarir d'éloges tes bontés jusqu'au petit matin
Bien que je ne saurais omettre tes quelques tares
Ta forte volonté en fait ta plus grande faiblesse
Combien de fois nos voix se sont échauffées
Pour des bagatelles sitôt le surlendemain oubliées
Le danger ne saurait te restreindre mais il te courtise
Ensemble nous valsions d'une danse sanglante
Chassant toujours plus cette exaltation exquise
Jusqu'à finalement te retrouver endormie sous les étoiles
Il t'arrivait souvent d'ironiser combien le rouge t'allait
Mais croies moi j'eus souhaité ne jamais te l'accorder
Car depuis je ne distingue plus aucune couleur
Seulement le vide incolore et insipide que tu m'as laissé
Ne suivant mes journées que dans la réminiscence
Je n'ai plus rien de l'homme qu'autrefois tu aimais
Milles fois me suis-je arrêté pour te rejoindre
Trop pleutre pour en franchir le dernier pas
Ce qui hante plus que tout c'est ton regard
Détournant honteusement ma déchéance
Je me sens acculé même dans le choix de ma fin
Alors je me contente de mener cette existence
Tenant l'espoir qu'un jour je me relèverai
Ou qu'au moins je puisse tomber la tête haute
C'est pourquoi mes pas m'ont conduit ici bas
Toute cette folie émanant du gouffre sidéral
Puisque ta présence s'efface je serais tes yeux
Veillant à ce que nul désastre ne se produise
Qu'au moins la jeunesse s'éprend allègrement
Sans conscience des vissitudes du monde
Alors peut-être pourrais-je un jour te faire face
Et non plus rougir de cette minable vie